DES AFFAIRES CRIMINELLES HORS NORMES,

DES MEURTRES NON ELUCIDES, DES DISPARITIONS MYSTERIEUSES.

 

 

Les affaires criminelles hors norme font référence à des crimes particulièrement marquants, souvent complexes et médiatisés, qui captivent l'attention du public et peuvent susciter une forte émotion collective. Ces affaires se caractérisent par leur caractère exceptionnel, leur impact social et leur retentissement médiatique
Les tribunaux sont parfois confrontés à des crimes qu’aucun auteur de polar n’oserait imaginer. C’est sans doute pour cela que le public se passionne pour les affaires criminelles relatées dans les médias. Les histoires qu’on y raconte nous concernent tous, c’est la raison pour laquelle certaines de ces affaires prennent une ampleur nationale et peuvent passionner tout un pays.

 

les crimes complexes tels que les cold cases, des meurtres sériels ou encore des disparitions non élucidée.
Crimes hors norme et crimes non élucidés sont deux notions distinctes. Le crime « hors norme » suscite dans l’opinion une fascination liée à son côté extra-ordinaire et dont l’horreur frappe les imaginations ; on va parler par exemple de « monstres ». Pour le crime non élucidé, c’est l’absence de réponse sur l’identité du coupable et ses motivations qui vont rajouter du mystère à l’horreur, surtout lorsque l’énigme persiste sur une très longue durée, comme c’est le cas pour les « cold cases ». L’enquête n’est pas comme dans les romans policiers un simple jeu de résolution d’énigmes, mais un travail patient où il s’agit de construire des preuves solides qui seront ensuite pénalement recevables. Ce qui fascine, et le public et les journalistes, c’est le mystère, mystère qui peut tenir à la nature du crime comme à l’identité de la victime. Que s’est-il passé ? Pourquoi à ce moment-là et pourquoi de cette manière ? Y avait-il un lien entre la victime et son ou ses agresseurs ?

Quand l’affaire met très longtemps à être résolue, cela peut provoquer une sorte de phénomène social, avec le développement d’une inquiétude collective, voire de psychose., comme ce fut le cas par exemple dans l’affaire dite du « tueur de la gare de Perpignan ». Au départ c’est une jeune fille de 17 ans, Tatiana Andújar, qui disparaît. On ne l’a jamais retrouvée, on ne sait pas qui l’a enlevée ni dans quelles circonstances. Plus tard on va retrouver le corps d’une autre jeune fille, Moktaria Chahib, puis le corps d’une autre jeune fille disparue, Marie-Hélène Gonzales, et encore un troisième corps d’une jeune fille qui s’appelle Fatima Idrahou et qui va s’avérer être la victime d’un tueur isolé. Dans l’opinion s’installe alors la peur du tueur en liberté qui rôde toujours sur les lieux de ses crimes, peur qui tourne à une forme de psychose. L’affaire va être élucidée environ 15 ans après. L’assassin, Jacques Rançon, sera arrêté en 2014 alors que le premier crime remontait à 19971. Entre ces deux dates, on ignore ce qu’il s’est passé. Le mystère, l’horreur et la fascination sont les ingrédients qui travaillent l’opinion dans ce type de crimes et la fascination s’accompagne toujours de la répulsion.

Ce sont des affaires qui ont fait les unes de l'actualité, des affaires criminelles aux enquêtes longues, des faits qui n'auraient jamais dû se produire.

 
 
 

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Dernière mise à jour pour cette page : 10 septembre 2025